
@corona_culture
(Avec Olivia Tapiero, Ève Landry et Julie Delporte, nous avons imaginé un projet où continuerait la culture malgré les temps …
(Avec Olivia Tapiero, Ève Landry et Julie Delporte, nous avons imaginé un projet où continuerait la culture malgré les temps …
Correspondance virtuelle avec Karoline Georges
Quelques pistes pour expérimenter une poésie vivante
Pour une littérature plus diversifiée.
Une rencontre furtive avec son mutisme – cette expérience qu’aura été de recevoir la pensée de l’autre dans un langage différé, m’a inconsciemment confronté à mes propres réflexes de communication.
Se tenir au courant de l’actualité littéraire, quossa donne ?
On ne se sort jamais intact ses écrits, mais on en sort aussi grandit. Plus fort. Plus sensible.
Lire Gendreau, c’est aussi se rappeler que la lueur de la création persiste face à l’adversité.
Pendant un mois, je suis allée à tous les événements littéraires auxquels il m’était possible d’assister. La suite vous surprendra.
lismoi.ca x Dans ta tête s’associent le 15 septembre prochain pour vous offrir une incroyable et unique mise en lectures …
Lula Carballo m’a amenée complètement ailleurs que ce à quoi je m’attendais et, pour cela, je lui en suis reconnaissante.
Publier de la poésie au Québec en 2018 : les enjeux, les joies et les défis
C’est bien cette sensibilité pour les nuances, cette porosité des frontières entre les temps et les gens qui n’a cessé de m’émouvoir dans le travail créateur de L’eau du bain.
Si on ne peut pas juger un livre à sa couverture, LQ prouve tout de même qu’une bonne présentation visuelle et un design attirant peut être synonyme d’un contenu de qualité.
Au-delà des questions d’identités sexuelles et nationales, ce qui persiste, dans Homo Sapienne, c’est l’humain, dans son essence, maladroit et seul, à la recherche d’un foyer, d’un être ensemble.
Toutou Tango, ce n’est pas un après-Chasse aux licornes, ce n’est pas un « ben-voyons-donc-finalement-ça-l’a-pas-vraiment-fini-de-même ». C’est un bal dans tout ce que ça l’a de fun, d’extravagant et de chaotique.
Durant la fin de semaine du 5 au 8 octobre se déroulait la onzième édition du OFF-Festival de poésie de Trois-Rivières, occasion rêvée d’aller entendre – et/ou réciter – de la poésie, face au fleuve et entre amis.
Il est des lectures qui nous marquent, qui nous prennent au ventre, qui s’impriment en nous comme sur du papier carbone.
Silencieux, les auditeurs sont hypnotisés par les lectures qui s’enchaînent – comme si la hauteur conférait une férocité à la déclamation, comme si l’immensité de l’horizon rendait plus grande encore la portée de la voix.
Par MARIE-HÉLÈNE RACINE
par ÉLODIE DUGAT